De la bouteille à la bouteille
Utilisé pour fabriquer des bouteilles neuves à partir de bouteilles usagées,
le Polyéthylène Téréphtalate recyclé (r-PET) est de plus en plus convoité.
Depuis 2009, grâce à l’usine France Plastiques Recyclage que le groupe exploite, Paprec est devenu un expert dans la fabrication de cette matière plastique.
C’est un fait, le monde du plastique recyclé évolue, et entre dans une nouvelle ère. Et le Polyéthylène Téréphtalate recyclé (r-PET), l’une des rares matières valorisées capables d'être réintroduite dans le circuit alimentaire, vit tout simplement un renouveau. Mais qui dit nouvelle donne dit aussi nouveau challenge pour les acteurs du recyclage comme Paprec.
FPR leader du secteur
C’est ce que l’on découvre sur le site de Limay (78), chez France Plastiques Recyclage, où sont recyclées les bouteilles en plastique, dont celles collectées sur le territoire du Siom, pour en faire…
de nouvelles bouteilles en plastique. Et cette année fut hors du commun. «C’est simple, au niveau
des volumes traités, nous avons atteint la capacité de production totale de l’usine, soit un peu plus
de 30 000 tonnes toutes matières comprises » explique Éric Labigne, directeur du site.
L’une des meilleures usines au monde
Avant même d’avoir à relever le défi de la valorisation matière, Paprec a su faire un pari gagnant : la qualité. « Ça a toujours été notre leitmotiv, précise Éric Labigne. Nous sommes l’une des meilleures
usines au monde en matière de recyclage r-PET. D’ailleurs, nous sommes les seuls à fournir Evian,
la référence mondiale de l’eau. L’idée, c’est d’offrir les meilleures garanties possibles à nos clients. »
Pour cela, FPR peut compter sur son savoir-faire et son avance technologique. Entre ses chaînes de tri optique, l’emploi de la technologie laser pour détecter les impuretés jusqu’au cœur des molécules de plastique ou encore son niveau d’expertise chimique, l’usine de Paprec Group est à la pointe de son secteur. « Il y a deux choses très importantes au niveau du r-PET, explique Éric Labigne. La qualité des granulés visibles, évidemment, mais aussi la qualité invisible. La partie chimique
du produit. Nous voulons que les deux soient irréprochables. » Un positionnement d’autant plus important que certains « militants anti plastique » attaquent le recyclage en affirmant que
la matière recyclée n’offre pas les mêmes garanties que la matière d’origine fossile. Ce qui est faux.
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