Pierre LAPORTE, contrôleur de collecte

Mastérisé en Environnement, Pollutions Chimiques et Gestion environnementale, Pierre Laporte a rejoint le Siom par la voie du service civique. «Google est ton ami» pourrait être la locution préférée de ce geek passionné, devenu Contrôleur de collecte.

Rédaction SiomActus : Quel a été votre parcours ?

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Pierre Laporte : Après un Master Pro à l’Université Paris-Sud Orsay, j’ai participé en tant que citoyen à l’Agenda 21 de la ville des Ulis avant de rejoindre le Siom, en janvier 2011 dans le cadre du service civique. Après huit mois, j’ai été embauché au Service déchèterie où je travaillais 40 week-end par an. Puis j’ai rejoint le Service collecte, en tant que chargé de la Redevance Spéciale (RS). Je m’occupe d’ailleurs toujours, avec mes collègues, de la mise en place de ces contrats dédiés aux clients professionnels et de la livraison de leurs bacs.

 

RSA : Votre mission a-t-elle évolué ?

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P.L. : Oui, effectivement. Suite à la restructuration du service il y a un an et demi, j’ai été nommé Contrôleur de collecte, avec pour mission de superviser les tournées et s’assurer de leur bon déroulement ; qu’il s’agisse du ramassage des déchets ménagers des particuliers, de ceux des clients RS ou de la rotation des caissons des Centres techniques municipaux. Nous sommes quatre à y veiller, dont Stefan (la seule femme de l’équipe), Yoann et, depuis le mois d’avril, David qui était auparavant agent de déchèterie.

 

RSA : Vous êtes en quelque sorte l’interface entre les usagers et les opérateurs de collecte…

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P.L. : C’est ça. Et pour être justement au plus près des habitants, chacun de nous a en charge le suivi quotidien d’un secteur géographique donné. Pour ma part, je m’occupe de quatre communes : Gometz-le-Châtel, les Ulis, Orsay et Villejust. Nous travaillons aussi en étroite collaboration avec les villes lorsqu’il y a des évènements qui pourraient perturber la collecte, comme des travaux, pour que ceux-ci aient le moins d’impact possible sur l’usager.

Pour un service de qualité dans les 21 communes du Siom, nous devons nous assurer que tout se passe au mieux pour les habitants. Leur nombre étant en progression constante, notamment avec la construction de nouveaux logements sur notre territoire, les besoins et les attentes vont aussi croissant. Il faut savoir s’y adapter.